Souvent plus qu’un choix, ces futures mères éprouvent le besoin de procréer à partir d’un certain âge sans toutefois partager une vie de couple. Cette décision ne doit pas être prise à la légère et est en général mûrement réfléchie. Entourées de leur famille et de leurs proches, ces femmes franchissent le pas en France ou à l’étranger suivant la législation en vigueur.
L’adoption étant quasiment inaccessible aux personnes seules, les femmes en mal d’enfant ont tendance à se tourner vers le don de sperme. Non autorisé aux femmes seules en France, il est tout à fait légal en Belgique ou en Espagne.
Une autre solution consiste à trouver un compagnon qui remplira ce rôle sans s’impliquer par la suite dans le vie de l’enfant.
Certains diront que c’est de l’égoïsme et d’autres que c’est une certaine marque de courage.
Et vous ?
Il faudrait vraiment être courageuse pour faire celà, mais d’une part ça fait aussi une part d’égoïsme. Mais quand même, ça sera un grand part de responsabilité d’avoir un enfant tout seul et de l’éduquer tout seul ensuite.