Cependant, pour introduire les aliments, plusieurs choix s’offrent à nous : donner à bébé des petits-pots tout prêts, achetés dans le commerce ou faire soi-même la nourriture de Loulou.
Les petits pots
S’il faut bien reconnaître un avantage aux petits pots, c’est bien leur côté pratique, car pas de temps à perdre, il suffit de piocher dans le placard et de bonnes recettes s’offrent à nos enfants. Le taux de nitrates ou autres est contrôlé, et il n’y a pas de sel rajouté. C’est ainsi une façon assez simple de faire découvrir de nouvelles saveurs aux bébés. Vous trouverez dans le commerce des marques comme Blédina.
Pour les mamans plus soucieuses de l’environnement, et plus sceptique sur les aliments industriels de bébé, vous pouvez toujours choisir des petits pots « bio », c’est-à-dire fabriqués à partir de fruits ou légumes issus de l’agriculture biologique. Dans les marques connues de ces petits pots, vous avez la marque Hipp, ou Babybio, disponibles en grande surface ou sur internet.
Le fait-maison
De plus en plus de mamans décident de faire elles-mêmes le repas de leurs loustics pour un côté plus sain, avec la peur de tout ce que l’on trouve dans les aliments industriels. C’est donc généralement avec beaucoup de plaisir -et une bonne organisation- que les mamans s’attellent à faire leurs purées et à les congeler pour pouvoir en ressortir tout au long de la semaine. Ainsi bébé mange des produits frais, sains et natures.
Certains appareils viennent aider les mamans, notamment le babycook (j’ai le même), qui permet de faire cuire, de mixer et de décongeler…le top pour toutes les mamans qui veulent tout le temps -ou de temps en temps- concocter de bons petits plats à leurs enfants. Le seul inconvénient de cet appareil, le prix (autour de 100€) mais généralement vite amorti (en plus, quand bébé est grand, vous pouvez le garder en tant que mixer…).
Il n’y a pas longtemps, j’ai entendu une polémique sur le fait-maison, comme quoi certains spécialistes conseillaient les petits pots industriels, car dans le fait-maison, le taux de nitrates n’était pas testé. Après vérification auprès de mon médecin, celui-ci est persuadé qu’il s’agit simplement d’un coup de pub des vendeurs industriels et qu’il est tout de même préférable pour les mamans qui ont le temps -et qui ont envie-, de cuisiner elles-mêmes les repas de leurs enfants…et pour info, il n’est pas pour le bio non plus…alors à vous de choisir!
Et vous, vous êtes plutôt petit pot ou fait-maison?
il n’est pas pour le bio?
OUI, en effet le conventionnelle ne traite que 30 fois les pommes, pollue l’eau et le terre et nous payons après leur assainissement. nous créons une désertification du monde vivant (ex : abeilles) et nous privatisons les semences grâce à Monsante ( hybrides f1)!
mais pour nos bout de choux préparons des petits pots maison avec des légumes qui viennent d’espagne où ils sont à « peine traité » pour créér une économie solidaire locale et éthique!
surtout ne nous posons pas de questions et ne nous informons pas
c’est se qui à de mieux à faire!
Effectivement, mon médecin n’est pas pour le bio, il préfère un achat local plutôt que de courgettes bio venant d’Espagne, il préfère acheter chez le petit agriculteur du coin qui pratique une agriculture raisonnée plutôt que chez l’industriel. D’ailleurs, sa femme ne met jamais les pieds dans une grande surface…alors n’est-ce pas un mode de vie aussi sain et aussi respectueux de l’environnement et des valeurs humaines que de prôner l’agriculture biologique? Là aussi, c’est un choix de vie, qui reste là aussi loin de la « dictature Monsanto » comme vous en parlez plus haut !
Notons toutefois que le bio n’est pas accessible à tous les porte-monnaie (+ 70% par rapport à un produit industriel de source RMC) et que dernièrement des petits pots bio ont été retirés de la vente car ils créaient une dépigmentation de la peau chez le bébé qui en consommaient les harictos verts ! Donc encore une fois peut-être vaut-il mieux privilégier l’agriculture de proximité, raisonnée (larve de coccinelle, bouillie bordelaise…) à une agriculture bio d’Espagne ou autre?
Attention!! Je viens d’une region rurale et il ne faut pas tout confondre! Acheter non bio local, c’est tres bien pour l’empreinte carbone, puisqu’on reduit les gaz a effet de serre du transport. Mais pour bebe, ce n’est pas different du legume du supermarche, car le producteur local non bio soupoudre aussi ses plantations de produits chimiques… (sauf rares exceptions) Il y aura autant de prduits chimiques sur la pomme du coin que sur celle du supermarche….. L’agriculture de proximite est rarement a la bouillie bordelaise, larve de coccinelle : ca c’est du bio!!! Donc, pour un bebe l’ideal c’est du bio local… Si ce n’est pas dispo, alors du bio tout court!!